SAVOIR-VIVRE dans la convivialité
Résidence le Sully
Quelques règles de savoir-vivre minimales
Face aux actes irrespectueux et répétés constatés dans cet immeuble, moi, simple locataire attentif à son cadre de vie et au bien-être des autres, constate avec beaucoup de regret que certaines règles de vie en communauté ne sont pas prises en compte dans cette résidence. C’est donc, en âme et conscience, que je me permets humblement d’en rappeler quelques unes, quitte à choquer ceux ou celles qui n’y seront pas sensibles, et c’est justement à vous que je m’adresse.
1. Il existe des choses en plastiques appelées « poubelles », jaune ou bleu, dans la cour. Pour y accéder, il suffit d’ouvrir une porte et d’y déposer sagement son plastique. Jusque-là, rien de très compliqué. Si vous n’avez pas la clef, adressez-vous au syndic. Il apparaît en effet que des poubelles sont régulièrement stockées dans le hall d’entrée près de l’ascenseur, ce qui est littéralement SCANDALEUX.
- Certaines personnes se croient autorisés d’encombrer la cour intèrieur avec des objets volumineux (sommier, télé...) : là aussi, il faudrait peut-être penser à ceux et celles qui habitent au RDC. Aimeriez-vous, le matin, ouvrir vos rideaux et apercevoir des détritus sous votre nez ? Je rappelle qu’il existe le service propreté à la mairie , et qu’il suffit de leur téléphoner. Vous obtiendrez ainsi un RDV pour stocker dans la rue vos objets encombrant pendant leur tournée du lendemain. Cela m’évitera de le faire... (Je ne suis pas payé pour ça). Dans d’autres villes plus petites, il existe, il est vrai, une tournée quotidienne , mais pas à Strasbourg ; attendons que cela se mette en place un jour avant de mettre nos objets encombrants n’importe où dans cette cour, qui, je le rappelle encore une fois, n’est pas une DECHARGE !
- Le soir, après 19h, j’entends aussi des résidents bricoler bruyamment avec leur massue, leur marteau... Savent-ils que le son se propage à travers les murs, et que je peux les entendre deux étages au-dessus. (pour plus de détails, consulter une enyclopédie sur la propagation des ondes sonores). Il existe des moments dans la semaine pour le faire, plutôt que le dimanche et le soir, car nous voulons aussi nous REPOSER après une semaine pénible.
- Enfin, je constate amèrement que les publicités abondantes déversées chaque mois dans notre entrée sont jettées sans aucun égard sur le sol. Pensez-vous que c’est agréable d’habiter dans une porcherie où j’aurai bientôt honte d’y inviter mes amis ?
On me dira que « l’enfer est pavé de bonnes intentions » et que je me prends pour le commandant en chef. Je répondrai que je parle au nom de ceux et celles dont le souhait reste simplement celui de vivre dignement dans un environnement CONVIVIAL et PROPRE.
